Pourquoi confier 15 ans de carrière à MARGO
Abdelkader se lance dans l’aventure MARGO en 2008 seulement 3 ans après la création de la société en 2005. Au sein de Trading Systems, Abdelkader a donc pu grandir avec MARGO dans son métier de développeur et a vu la société se transformer et devenir un groupe de conseil en IT multispécialiste. Retraçons son parcours.
Après 15 ans passés chez MARGO tu te tournes vers un autre challenge professionnel, comment résumerais-tu ton parcours en 3 mots ?
Ce n’est pas chose facile de résumer 15 ans de vie et d’expérience professionnelle en 3 mots.
Je dirais que le premier mot serait ADAPTATION. Venant d’un milieu différent, j’ai compris qu’il était incontournable pour moi de faire preuve d’une capacité d’adaptation. En tant que consultant, il faut s’adapter au changement de mission et d’environnement, contrairement à un métier classique dans une entreprise. C’est donc idéal pour ceux qui cherchent du renouveau dans leur métier et des challenges différents.
En second, me vient le mot COLLABORATION. C’est un métier où l’on travaille avec des systèmes très complexes donc le travail d’équipe est essentiel dans notre quotidien, particulièrement dans la finance. Avec une multitude de systèmes et de personnes impliqués, il faut savoir trouver des solutions communes.
Enfin, mon troisième mot est RÉSOLUTION DE PROBLÈME. La vie d’un développeur, c’est essayer de résoudre des problèmes, investiguer pour essayer de les anticiper, corriger des bugs et surtout améliorer et/ou développer des nouvelles solutions pour de nouveaux systèmes.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de rejoindre MARGO en 2008 ?
À l’époque, MARGO était une société jeune (moins de 3 ans avec une dizaine de collaborateurs).
Côté technique, l’approche et la stratégie de la société m’ont tout de suite plu et cela s’est confirmé jusqu’au bout : les meilleures missions pour les meilleurs consultants. En tant que développeur, j’ai été tenté par la proposition de missions de longue durée axées finance et front office. Le recrutement sélectif que réalise MARGO pour ses clients m’a également plu. Cela permet de sélectionner des candidats de bon niveau, c’est une stratégie valorisante et satisfaisante tant pour le développeur que pour les clients.
Côté humain, j’ai directement eu un très bon feeling. Je me rappelle encore de mon tout premier contact avec un membre de la team MARGO. C’était un échange avec Pauline Denis durant mon processus de recrutement. L’équipe commerciale était aussi très sympathique et ma rencontre avec Olivier et Xavier (fondateurs du groupe) a été encourageante et m’a conforté dans le choix de travailler chez MARGO.
Quel a été ton parcours pendant ces 15 ans ?
J’ai réalisé 4 missions en 15 ans. La toute première a duré 1 an et demi et les autres plus de 4 ans, un engagement bien tenu sur la proposition de missions longues durées par MARGO.
Globalement mes missions étaient en finance, côté salle des marchés donc proche des traders.
J’ai pu travailler avec différents produits selon les missions. Par exemple, sur les produits financiers, j’utilisais des systèmes de trading sur les actions, les dérivés actions, le Forex, les dérivés de taux etc. Ce qui fait un large panel de produits au total !
D’un point de vue technologique, j’ai utilisé les principaux langages côté back-end, c’est-à-dire C++, JAVA et C#.
J’ai d’abord travaillé côté dérivés d’actions puis 4 ans côté trading actions algorithmique.
Ma troisième mission, elle, était côté accès marché, donc les systèmes qui permettent l’accès aux Bourses Électroniques comme EURONEXT pour la bourse de Paris. Mon rôle était de créer un tuyau commun pour centraliser et mutualiser les ordres du client avant de les diffuser sur le marché.
Enfin, ma dernière mission était côté Forex, autrement dit dans toutes les opérations sur les monnaies.
Quelle mission a été la plus challengeante pour toi et pourquoi ?
D’un point de vue technique, c’est celle qui s’est déroulée côté trading action par l’intermédiaire d’automates. Un automate prend des décisions et des ordres tout seul. De ce fait, il peut difficilement prévoir tous les cas possibles contrairement à un cerveau humain, pouvant prendre un temps de réflexion. Il faut donc éviter au maximum les erreurs en prévoyant tous les cas limites.
Même si dans 99 % des cas l’automate marche correctement, il y a toujours un risque d’imprévu dans le marché ou dans la chaîne. Cela peut rapidement engendrer de graves conséquences, ce qui a été un vrai challenge. J’ai donc dû faire preuve de rigueur, d’optimisation et de performance pour repérer tous les cas limites. C’était aussi la période des crises européennes et les marchés étaient très volatiles avec des prix qui pouvaient s’envoler très vite. En période normale, les écarts sont de quelques pourcents dans une journée, mais pendant cette période cela pouvait augmenter brutalement.
Du point de vue du développement humain, c’était plutôt du côté accès marché, car la banque voulait remplacer un système existant par un système développé en interne. Au-delà du technique, c’était surtout un challenge sur le plan humain puisqu’il fallait faire collaborer de nombreuses équipes entre elles pour que les choses avancent. C’était un challenge différent du premier, mais tout aussi enrichissant.
Quel événement ou initiative du groupe t’a le plus marqué ?
C’était sans hésiter les conventions annuelles, je me rappelle encore de ma première qui avait eu lieu dans un bateau sur la Seine avec un spectacle brésilien. Il y en a eu également au Jardin d’Acclimatation, dans des hôtels comme Le Continental etc.
Mais celle qui m’a le plus marqué était celle réalisée durant le Covid. Puisque même en plein milieu d’une période compliquée, MARGO à tout de même tenu à maintenir sa convention annuelle. Bien évidemment, elle était à distance, mais j’ai pu ressentir un vrai travail dans l’organisation de la convention ce qui a permis d’avoir une ambiance conviviale et sympathique.
Les plus au delà de ta mission chez MARGO ?
En dehors de mes missions, j’ai réalisé plusieurs validations techniques. Cela consiste à rencontrer des candidats pour avoir une idée de leur niveau et les valider techniquement.
Personnellement, pour essayer de décrocher les meilleurs profils, je trouve important d’évaluer le niveau technique sans poser de questions pièges ou avoir un avis tranché sur une mauvaise réponse.
Le choix de candidat peut s’avérer complexe, car il faut être capable d’analyser ses compétences en peu de temps. “Pour éviter de tomber dans un système de loterie, j’essaye de comprendre comment il va passer d’un problème simple à une solution. Puis, je regarde comment il peut l’améliorer, car une solution simple est toujours améliorable. Pour moi, il suffit d’avoir des bases techniques très solides et une bonne capacité de réflexion” puisque les collaborateurs ayant peu d’expérience sont toujours accompagnés et formés par des experts chez MARGO.
Un conseil pour une personne qui hésiterait à candidater chez Margo ?
Venir sur place ! C’est le meilleur moyen pour se faire une idée et avoir une réalité précise de ce que MARGO peut nous apporter. Il ne faut pas hésiter à échanger, poser des questions, demander des retours d’expérience etc. On ne remplacera jamais le contact humain, ce sont les personnes présentes au siège qui peuvent apporter tous les éléments pour convaincre ou non un candidat.
Quel est ton meilleur souvenir ?
En 15 ans, je n’en ai pas un, mais plusieurs !
Je pense à tous les moments d’échange avec certaines personnes de MARGO. Que ce soit durant un repas, un café, un événement du groupe pendant ou en dehors du travail. Il y avait un vrai sentiment de liberté d’expression qui nous permettait de partager tant sur notre vie professionnelle que personnelle. Des échanges sans le stress du travail ni contrainte. J’en garde notamment de très bons souvenirs avec Olivier HEMAR, drôle, sympathique et mon ingénieure d’affaires à l’époque Ornella BIASIOLI.
Le mot de la fin ?
15 ans c’est à la fois long mais ça passe vite. J’aimerais remercier toutes les personnes de MARGO avec qui j’ai pu collaborer. Particulièrement Olivier et Xavier qui m’ont fait confiance, j’ai fait de mon mieux pour représenter MARGO. Mais aussi d’autres personnes comme Ornella BIASIOLI, Matthieu Barral, Olivia Camus, Marie Caroline Payet, Carole Miramont, Pauline Denis et Laure Lambert, toutes des personnes profondément gentilles et très professionnelles. Je garderai toujours un très bon souvenir de ma collaboration, de mes discussions quotidiennes avec eux et de leur soutien. J’aimerais tous les remercier et leur dire que j’ai beaucoup apprécié les connaître et travailler avec eux.
Un grand merci pour ce témoignage Abdelkader . Nous avons été ravis de te compter parmi nous toutes ces années et avons beaucoup appris à tes côtés.